Jean-Paul Desroches, conservateur général honoraire du Patrimoine découvre T’ang Haywen dans les années 1970 et entreprend un dialogue qui ne cessera qu’en 1991 avec la mort de l’artiste. En 2002, il organise une première rétrospective au Musée Guimet et prépare aujourd’hui un ouvrage sur l’homme et l’œuvre aux Éditions Skira.